La France est leader dans l’exportation de semences végétales, mais le secteur semencier rencontre des points de fragilité qui profitent dangereusement à ses concurrents : le crédit-impôt-recherche n’est pas sécurisé, l’accès à l’irrigation n’est pas garanti et surtout l’administration assimile de façon croissante les semences traitées à des produits phytopharmaceutiques, ce qui discrédite l’offre française à l’extérieur. 

Les semences françaises peinent à s’exporter
La non-sécurisation du crédit-impôt-recherche et le manque d’accès à l’irrigation sont deux facteurs qui discréditent l’offre de semences françaises à l’extérieur. ©iStock-Oleksandr Yuchynskyi

L'article est reservé aux abonnés de "l'option numérique" du journal. Pour plus d'informations sur l'abonnement à L'Information agricole du Rhône et à son option numérique, contactez la rédaction au 04 78 19 62 10. 

Découvrez nos offres