L’œnologie préventive au service de la qualité
L’œnologie préventive était à l’honneur le 16 mars lors des Entretiens du Beaujolais, organisés par l’IFV-Sicarex au lycée Bel Air de Belleville-en-Beaujolais. Définition d’une pratique œnologique, nouvelles réglementations, étiquetage, représentations des vins sans sulfites ajoutés, notation… Ces sujets ont laissé place à l’interaction.
Rendez-vous annuel technique attendu, les Entretiens du Beaujolais se tenaient le 16 mars dernier au lycée Bel Air de Belleville-en-Beaujolais. L’occasion de parler œnologie préventive avec l’équipe de l’IFV-Sicarex. Son directeur, Bertrand Chatelet, revient sur ce thème : « l’œnologie préventive fait appel à l’art de l’anticipation : se mettre en situation de limiter le risque d’apparition de « problèmes » œnologiques entrainant une dégradation de la qualité du futur vin, plutôt que d’avoir à les gérer une fois survenus. Elle peut représenter aussi une volonté de limiter les interventions physiques et/ou additives parfois « brutales » au profit de méthodes plus douces pour le vin, les élaborateurs et l’environnement ». Pratiques œnologiques, quelle évolution ? Réglementées au niveau européen, les pratiques œnologiques sont encadrées du grain de raisin au conditionnement. «...
La suite est réservée à nos abonnés.