Le drone, ses fonctionnalités et ses essais
Même si les drones ne sont pas encore autorisés pour pulvériser ses parcelles, la chambre d’agriculture du Rhône a donné rendez-vous à une quinzaine de viticulteurs le 17 juillet à Fleurie pour discuter de toutes les possibilités de cette technologie.

Télépilote et agronome, Elie Talaga a créé sa société Photosynterre à destination des exploitations agricoles et surtout viticoles. Il est intervenu le 17 juillet à Fleurie lors d’un rendez-vous organisé par la chambre d’agriculture du Rhône sur les différents usages du drone. « Modélisation agricole, agronomie, cartes de vigueur, détection des pieds manquants ou flavescents… Le drone peut avoir une multitude d’utilisations », assure Axel de Couët, conseiller viticulture à la chambre d’agriculture du Rhône. Pendant la première partie en salle, plusieurs vignerons avec des parcelles en fortes pentes (30 % à 35 %) traitant au canon fixe ou oscillant étaient intéressés pour trouver une alternative à ces modes de traitement. « Beaucoup voulaient en savoir plus concernant la sécurité face au produit, le coût du drone et l’aspect législatif », indique le conseiller. Concernant l’aspect pratique, le coût d’...
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